Aldebbarant
Ici seront consignés tout ce qu'il y a à savoir ou qu'il aurait mieux vallu cacher d'Aldebbarant Ypriex, dit Capitaine mon Capitaine, Aldounet ou Alde (mais seulement pour les intimes).
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Biographie
Au commencement
Il est le fils de Brissard Ypriex, un Maitre Artisan de chasse en émaux de Limoges et de Gertrude Varince, fille de la noble famille Varince. Ce mariage d'intérêt donna naissance à un amour ainsi qu'à un fils, Aldebbarant Ypriex. Alors qu'il allait sur ses 5 ans, ses parents, son oncle, sa tante et son cousin sortirent comme régulièrement rendre visite à de la famille établie à Chalûs, sous la protection de la forteresse de Châlus Maulmont. Mais alors qu'ils se trouvaient en campagne aixoise, ils furent attaqués par les Routiers, relique de la présence anglaise en les terres limousines. Aldebbarant, son oncle et son cousin ne durent leur salut qu'à l'arrivée inopinée d'un groupe frappée des armes de l'Hospital de Saint Jean de Jérusalem qui mirent en déroute les brigands.
Ne jugeant plus les terres limousines assez sûres pour ce qu'il restait des Ypriex, l'oncle d'Alde partit en Bourgogne afin d'y refaire sa vie, emmenant avec lui ledit Aldebbarant et le fils du premier. Mais cette journée tragique eut des conséquences sur le reste de la vie du jeune garçon. Depuis ce jour, il voua une haine farouche aux Anglais qui avaient amenés ceux qui ont tués sa famille, ainsi qu'aux brigands responsables de son orphelinat. Mais il se découvrit une passion pour l'Ordre de l'Hôpital que son jeune esprit magnifia au paroxysme, revoyant chaque fois qu'il avait peur ces Grands Héros de noir vêtu et l'épée au clair, chargeant ceux qu'il jugeait comme des moins que rien.
Son oncle finit par reprendre un atelier en Bourgogne après s'être endetté auprès d'un spinoziste et d'un lombard. Mais fort de son savoir limousin dans le travail de l'émail et de l'or, il fit rapidement fortune et remboursa ses crédits. Les deux enfants purent profiter de la richesse et du savoir de cet honnête homme en apprenant d'abord le métier et les mathématiques avec ce dernier. Mais l'argent servit aussi à permettre aux deux jeunes gens à suivre des cours auprès du curé du village. Mais pour Aldebbarant, enfant aspirant à en connaître toujours plus, il ne s'arrêta pas là. Il alla au collège ou il apprit des moines l'art de la lecture de l'écriture et du parler en latin et du grec.
A l'adolescence, ayant toujours en tête l'image d'Épinal qu'il s'est forgé des chevaliers hospitaliers, il entreprit de se former au métier des armes afin d'avoir la même force que ceux à qui il devait la vie. Il devint l'écuyer d'une chevalier italien peu fortuné qui lui apprit l'art du combat et de l'équitation contre les services de page d'Aldebbarant. L'éducation dura 5 ans durant lesquels il se lia d'amitié avec ce Napolitain. Mais celle ci prit fin tragiquement avec la mort du noble suite à une grave crise de dysenterie. Il revint donc chez lui après un voyage au Royaume de Naples pour remettre les affaires de son ami et maître à sa famille. Il ne gardera de lui qu'une dague sculpté aux armoiries des terres napolitaine du chevalier.
En Bourgogne, il entreprit de devenir le scribe de son oncle. Mais celui ci mourut dans l'année d'une pneumonie. Perdant ses repères, il s'écarta involontairement de son cousin, ce dernier reprenant l'atelier de son père avec les responsabilités allant de paires. Aldebbarant erra donc sur les routes bourguignonnes, allant de petit boulot en petit boulot, jusqu'à son arrivée à Tonnerre, ou, avec ses maigres économies, il acheta une humble masure afin de s'y installer et d'y faire sa vie.
La vie au grand jour
====L'insouciance bourguignonne====
Alors qu'il errait une fois de plus dans les rues de Tonnerre à la recherche d'un emploi, Aldebbarant entendit un brouhaha indescriptible dans une taverne proche. La curiosité le titillant allègrement, il décida d'aller voir de quoi il retournait. Et quel ne fut pas sa surprise que de découvrir une bande de joyeux drilles se payer tournée sur tournée et surtout lui offrir dès son passage de la porte quatres chopines. La chaleur ayant eu fait son effet précédemment, il les but rapidement. C'est alors qu'un tabouret vola dans sa direction lancé par un personnage haut en couleur: Bralic. Comme il n'était pas question d'en rester là, le jeune Aldebbarant riposta avec une chaise ce qui lui vallu l'amitié quasi immédiate de ceux présent et bien sur, encore des chopines. C'est à cette période qu'il lia connaissance et amitié avec Cardinal, Haigwepa ou encore Satine. C'est aussi à cette période qu'il se forma à la picole et à la baston de taverne qu'il devait oublier quelques mois plus tard.
Toujours pauvres mais heureux, son ami à la forte carrure lui proposa de participer à un nouveau jeu, la soule. Mais pas n'importe laquelle, la soule bourguignonne. Il est souvent dit dans le monde de la soule qu'il y a deux écoles, la soule bourguignonne et la conventionnelle. Devenu soulard et souleur, il montra sur le terrain une certaine habileté pour.... massacrer l'adversaire avec tout ce qui lui tombait sous la main: mais c'est ça l'école bourguignonne.
Cette période bénie prit cependant fin avec l'ouverture du Limousin et de la Marche aux nouvelles têtes. Bralic, Satine et Haigwepa partir là bas et après deux semaines devenues moroses, il décida de quitter la Bourgogne et cette vie insouciante pour tenter de la retrouver dans son pays d'origine, enfin pacifié.
Le court épisode limousin
la douceur franc comtoise
L'Artois: le début d'une vie guerrière
L'exubérence et la folie périgourdine
L'Alençon: le vrai foyer
Le début de la fin
La mort
Blason
Curriculum vitae
Civil:
ex Ambassadeur adjoint de Franche-Comté en Artois
ex Ambassadeur de Franche Comté en Normandie
ex Ambassadeur de Franche Comté en Bretagne
ex Représentant des éleveurs porcins d'Artois
ex membre du VIENS
ex maire de Sarlat
ex membre de l'Assemblée Populaire du Périgord-Angoumois
Fondateur malheureux du parti RA
ex membre et président de l'Assemblée Populaire d'Alençon
ex conseiller ducal d'Alençon
Militaire:
ex soldat durant la Fronde de 1454
ex chef de patrouille durant la guerre contre le Baron Hobstein
ex Capitaine Hospitalier durant la bataille de Toulon
ex réserviste, puis lieutenant de Verneuil, puis capitaine des réservistes d'Alençon, puis capitaine des troupes d'Alençon durant la Grande Guerre en 1455
ex Connétable d'Alençon en Juillet-Aout 1455
ex conseiller militaire d'Alençon
Hospitalier:
Grand Consul de l'Ordre royal de l'Hospital de Saint Jean de Jérusalem
Ecuyer de l'Ordre royal de l'Hospital de Saint Jean de Jérusalem
Décorations
Ordre de la Reconnaissance Royale
Ordre du Mérite Périgourdin
Grand Croix d'Alençon
Grand Officier de l'Ordre Suprême Militaire d'Alençon
Devises
Cruauté réveille toi, fureur guide mon bras, seigneur apaise mon cœur
Pour le Roy!!
La diplomatie c'est quand tu tapes pas assez fort
C'est con si c'est pas négociable, l'autre solution c'est mon épée dans ta gueule
Le pardon se passe entre le Très Haut et toi, moi je suis la pour que vous vous rencontriez