Aurelien.

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Blason

Aurélien de Penthièvre; 22 décembre 1456 (2008) - 24 Aout 1458 (2010)


Sommaire

Sa vie publique

Aurélien de Penthièvre dict l'Imperator, duc de l'Anjou, baron de Saulx (revendiqué), seigneur de la Haute-Cuve (vassal de la vicomtesse de Romfort) et buse saumuroise. Il fut à l'initiative de nombre de trafic hors la loi, ainsi qu'instigateur de diverses attaques envers des Castels de tout bords, Limoges, Aix en Provence, Le Mans, Lyon et Dole.

Né sur le territoire breton durant le premier jour de l'hiver quatorze cent quarante et un, il serait le fruit incestueux d'un noble impérial et d'une noble bretonne. Par un hasard qui n'explique en rien une quelconque vérité, il fût mise sous la protection de la famille de Penthièvre, étant recueilli et mise en Abbaye bretonne durant ses plus jeunes années par la Vicomtesse Fifounijoli de Penthièvre, fille du Duc 197856 de Montsoreau, dit Papa Buse. S'en suivirent après son passage en l'abbaye d'une adolescence au sein de l'une des plus réputés écoles militaires bretonnes, profitant de mettre au service de la couronne du Grand Duc Gomoz de Penthièvre ses dernières années de pensionnat. C'est à l'aube de sa seizième qu'il lui est donné liberté de quitter son apprentissage et prendre gout aux grands de ce monde, qu'il ne tardera pas à rejoindre.

Sa vie mouvement fut séparé entre trois campagnes et trois instants politique

Les premiers sous

C'est durant l'hiver 1457 que le jeune homme se lança dans sa première expédition, dans le seul et unique but d'apporter gloire et or à la dynastie Penthièvre. La cible fut choisie avec une certaine modestie et facilité prouvé, en prenant pour cible le Sud du Royaume de France, autrement cité Royaume de Navarre et Grand Duché d'Aquitaine ou son passage fut plus qu'épistolaire bien qu'ayant par le plus grand des hasards fini par tailler route avec sac remplit d'or. Nulle personne ne saura surement jamais y répondre, on le disait Alchimiste, certain sombre rite lui semblait dévouer comme d'autre avant lui, tel que le champenois Caedes. C'est sous couvert d'une demi gloire qu'il revint en Anjou, à peine victorieux de la piteuse somme de dix milles écus sonnant et aucune mention guerrière qu'il s'offrit un printemps de repos. Cela ne fut pas la période la plus faste de son existence, le voyant trainer d'auberge en auberge aux alentours de l'Anjou, usant de ses charmes afin de faire fructifier son or par certain arrangement financier qui aurait fait pâtir n'importe quel marchand vétéran.

La campagne du Centre et de Provence

C'est au lendemain d'une élection ducale angevine que le départ fut décidé. Ayant été malheureux quatrième d'une liste qui vit en son sein une parfaite égalité des quatre listes présentent. Il fut rapidement recruté par le jeune craonnais, René Versatyl de Louvelle-Cartel, afin de l'ériger Sénéchal de sa Majesté afin de mener campagne pour reprendre les terres de félon Provençaux s'étant offert un illégal Marquisat souverain. Tel la quatrième croisade, le convoi militaire qui devait rassembler plus de cent cinquante unités d'élites venus de France, de Bretagne, d'Empire, de Catalogne et de Provence se vit stopper avant de passer les portes d'Aix en Provence et vit différentes tentatives de pillage de ces derniers.

La première escale fut sous les remparts du château de Limoges, ou une nuit fraiche de juin, une dizaine d'impétueux, dont le jeune Aurélien, le Roi René Versatyl et celui qui devait être sous peu Comte du Poitou, Chuichian de Montignac ainsi que le vicomte Reese de Louvelle. L'assaut fut un piteux échec, les divers compères ne réussissant même pas à tailler chemin jusqu'aux murailles, finissant la nuit dans les douves glaciale du mois de juin. Une semaine d'attente, qui vit le ressortissant poitevin rentrer en ses terres afin de financer liste comtale avant de retrouver à Limoges, rendez-vous donné par le Sénéchal Aurélien de Penthièvre qui fut partie en compagnie de ses troupes bretonne, écumer les routes du Périgord-Angoumois comme jadis Nilas d'Artignac traversa impunément l'Aquitaine, provoquant perte et chaos. Au bout de cette semaine et après avoir demandé renfort de troupes venant du Bourbonnais-Auvergne, autre mercenaire grassement payé dont le capitaine béarno-artésien, affilié à l'engeance des Bourrins de Cambrai, ce fut un nouvel échec. Mais cet fois-ci au branle bas de combat dans la cour du castel comtal ou la troupe était attendu par l'immense armée de l'Ordre de la Licorne. Cette seconde débandade en deux semaines vit la compagnie reprendre route vers la Provence, par les montagnes d'Auvergne.

Cette nouvelle étape sur le territoire auvergnat n'était qu'une énième source de mise à sac de province de l'alliance du centre. Car après quelques trafics plus que douteux sur les marchés du sud de l'Auvergne, c'est à Montbrisson que firent escale les survivants de la troupe limousine, rejoint par certains nouveaux compères prêt à tenir main forte à la délégation royale de Provence. Ce fut donc avec l'aide de Jontas de Valfrey, le Comte de Beaufort et son jeune fils Leandre Lazare de Valfrey, nouvel écuyer du roy Versatyl de Cartel-Louvelle et sa nourrice Soeli de Margny-Riddermark. C'est avec tout ce beau monde que fut érigé l'armée Per Just Chaos dirigé par le capitaine Lelmax. Armée franche soutenu par la capitaine provinciale d'alors, Sofio51, qui osa trahir sa province pour protéger l'armée franche qui devint l'ennemi numéro du duché du Bourbonnais-Auvergne. Alors que diverses tractations furent faites afin de freiner l'armée aux désires bien exprimés de fouler le territoire provençal, le conseil auvergnat proposa alors contre tout attente de maintenir l'étendard mais d'aider la province à envahir le Berry, ce que refusa le sénéchal n'ayant qu'un seul objectif en tête. Bien qu'après plusieurs tentatives d'intimidations, rien n'y faisait et les troupes franches n'eurent d'autres choix que de démanteler leur arsenal face aux troupes du Bourbonnais et du Lyonnais leur faisant face. C'était donc à dos de cheval et à pied que continua la route vers la Provence ...


L'arrivée sur la terre sainte était maintenant devenu proche. Postés aux portes de la Provence, devant la citée d'Avignon, les troupes royales décidèrent d'envoyer un groupe d'éclaireur en direction d'Aix qui ne revint jamais. Affaibli par ce premier revers, c'était le sénéchal, accompagné de la jeune Yunagrimwald qui tentèrent l'approche de la capitale, pendant que le roy accompagné de sa cours prirent la direction d'Arles. Et alors que ces derniers arrivèrent à bon port, les deux premiers furent sévèrement assassiné comme leur prédécesseur et renvoyé souffrir le martyre à Montélimar en Lyonnais. L'expédition fut sévèrement mis à mal suite à l'attaque des troupes du bourbonnais de du lyonnais d'une soixantaines de renforts pour le roy Louvelle. Ce dernier se trouvant donc prit en tenaille au sein de la citée portuaire d'Arles ou il trouvera la mort quelques semaines plus tard avec la jeune Rani de Blamont qui attendait l'héritier.

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Conseil Comtal de Franche-Comté Félon .... Et pillard, mené par Aurélien et Kilia de Penthièvre


Aurélien, vue par la vision du conseil ducal de l'Anjou du prévôt Edwald



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Sa vie privée

Titulature complète :

Son Aristotélicienne Angeviniste Majesté, l'Imperator Aurélien Marc-Antoine de Penthièvre, Roi de Jérusalem, Duc de l'Anjou souveraine et Angeviniste, Baron de Saulx la légitime et Seigneur fruité des terres de la Haute-Cuve dont lui fit cadeau sa mère adoptive lors de son retour victorieux de la campagne de Franche-Comté.

Il vécut à Saumur, citée des buses, trimant de rade en rade, écumant les bars et remplissant fièrement les tables de ramponneau comme lors d'un soir mémorable ou il fut le témoin du premier mariage angeviniste par l'évêque Otto von Karolinger, des époux "Nul" dict Jdw et de Calyce de Dénéré.


Il fut défié par le vagabond Letiti un jour de printemps 1457 sur les bords de la Loire. Duel qui vît le vil vagabond mettre à terre et ruiner l'exceptionnel étoffe du jeune Penthièvre.



- Sénéchal du Roy de Provence René Versatyl de Louvelle-Cartel

- Logisticien de l'armée "Per just chaos" dirigé par le Capitaine Lelmax, lors de la campagne de L'alliance du Centre - Provence.

- Tombeur légendaire de Dole l'imprenable, aux côtés de sa tante, Kilia de Chandos-Penthièvre, Duchesse de Château en Anjou, Baronne de Montreuil-Bellay et Pair de France.

- Capitaine de l'Anjou sous le règne de Fifounijoli de Penthièvre

- Prévôt des Maréchaux de l'Anjou sous le règne de Vendettal de Penthièvre

- Commissaire au Commerce de l'Anjou sous le troisième règne Fitzounette de Dénéré-Penthièvre

- Duc de l'Anjou de mai à aout 1458

- Fondateur de l'Eglise Angeviniste

- Chef des armées, "Tiss", "Aut Tiss, Aut Nihil" et "Gloria Libertus".


- Promis à Otissette de Reikrigen, Vicomtesse d'Andigné et de Blou, Baronne de Coron et Dame de Boumois

- Père de Théophraste Aurélien de Reikrigen-Penthièvre.

- Filleul du Vicomte de Saulx, Sirius de Margny-Riddermark, Prime Capitaine Impérial, ancien et le plus grand Maréchal d'Armes Impérial

- Vassal de Fifounijoli de Penthièvre

- Suzerain de Leandre Lazare de Valfrey, Seigneur de Creveney, Héraut de l'Anjou souveraine, tombeur du château de Dole


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Citation

  • « Réré ? C'est un peu comme un pet qui veut pas sortir. »
~ Scipio de Chandos-Penthièvre, Seigneur de Couesme


  • « Nobles de l’Anjou, allégez vous pour l’Imperator ! »
~ Aleanore Jagellon Alterac, aux allégeances de l'Imperator d'Anjou


  • « Un duc taré, deux femmes qui veulent être reynes d'un demi roy pour chaque, un tavernier qui se prend pour chien (et qui croit etre bien coiffé en sus) . »
~ Jdw, de la cour angevine et du Duc Aurélien


  • « Je déclare le procès d’Aurélien de Penthièvre et de son conseil ouvert. »
~ Bienheureuse Wilgeforte, début du premier procès inquisitorial de l'histoire à tout un conseil ducal

« Appelez moi Imperator . »

~ Aurélien, sa réponse


  • « J'y ai apposé le scel , ainsi que mon nom. Je l'ai fait de ma main , et de mon plein gré. Je dirais même que ceci est l'œuvre de mon génie institutionnel, dont l'Anjou a profité. »
~ Aurélien, au sujet de la Coutume Féodal de l'Anjou


  • « Il serait bon que l'on arrête de croire que la seule manière de sauver l'honneur, ou d'avoir des "couilles", est d'aller au devant de la guerre bêtement, de choisir le sacrifice de toute notre nation pour des futilités. Car comment ne pas considérer comme une futilité un schisme qui aujourd'hui doit concerner 5 à 10 angevins en tout ? Je serais donc lâche de ne pas vouloir plonger toute la Bretagne dans une guerre totale juste pour protéger le culte de cette poignée de personnes qui ont été trop têtues pour épargner à leur propre peuple une croisade ? »
~ Sa Majesté Myrlin, Grand Duc de Bretagne


  • « Et vous... vous qui bafouez tous les préceptes chers au coeur du Roy, en admettant qu'il vous recoive... n'auriez vous pas l'inconvenance de bafouer la dignité royale avec l'incroyable légèreté qui guide vos choix de vie ?  »
~ Sa Magnificence Nebisa de Malemort, seconde allégeance ducale

« Ma seule erreur serait donc d'être trop royaliste pour ces pseudo entités qui ne représentent plus que leurs propres orgueil ?  »

~ Aurélien, sa réponse


  • « Nous avons appris avec tristesse qu'une partie du territoire Mainois était passé sous contrôle des troupes du Duché d'Anjou. Nous vous invitons à châtier les preneurs du Mans en coopération avec les autorités Mainoises et la Prévôté Royale, pour permettre à cette dernière d'enquêter sur cette annexion et à en châtier les coupables. Et en toute logique, nous ferons en sorte de reprendre cette partie de nos terres à laquelle nous avons la faiblesse de tenir.  »
~ Sa Majesté Lévan le troisième de Normandie, Roi de France, courrier au Duc de l'Anjou

« À cette histoire de terre que le duché d'Anjou aurait osé voler au comté du Maine, nous interdisons aux troupes royales de vouloir dérober un lopin de terre qui appartient bel et bien à notre province. Et ceci en dépit de toutes les erreurs cartographiques que certaines personnes prennent comme argument, cette affaire de pseudo annexion m'est venu aux oreilles courant Mai. Et sachez que je dirige les opérations militaire sur le territoire d'Anjou depuis début Mars que tous les déplacements d'armées sont commandés par ma personne, donc je saurais bien si oui ou non un tel acte fut perpétré.  »

~ Aurélien, sa réponse

~ Et comme je suis d'une bonté infini, je vous rends compte de la réalité des faits. Le bout de territoire mainois fût annexé au mois de mars 1458 par Aurélien lui même, avec la bannière Gloria Libertus, alors qu'il venait chercher ses troupes angevines qui venaient de faire tomber Le Mans la royale ~


  • « "Pour Dieu, Dijon & le Duc" ... Dieu ? Mon cul ouai !  »
~ Aurélien, dernière parole avant de calancher suite à l'épique combat contre l'armée du Duc Asdrubaelvect de la Louveterie


  • « S'il se trouve un Angevin qui a porté partout la renommée de l'Anjou et l'a fait connaître à la terre entière c'est bien Aurélien de Penthièvre. D'aucuns le portent aux nues. D'autres le haïssent. Et, en ces temps troublés, personne n'ose en parler. Le nom de Réré appartient à la mémoire de l'Anjou et c'est lâcheté de ne pas s'en souvenir. S'il faut reconstruire, il ne faut pas commencer par une foutrerie d'hypocrite bassesse et de manque de fierté. La place d'Aurélien de Penthièvre est au Panthéon Angevin. Honni soit qui mal y pense. Salut Réré, ceux qui te pleurent te saluent. Et les autres devraient le faire.  »
~ Saltarius de Saint Bitu


  • « C'est le pire -et le plus dangereux- des Ducs Angevins vu depuis longtemps, lui. Crois-le bien, Vaxou, cela me navre de devoir le croiser pour encore deux mois dans les salles du Louvre. Ce jeune blanc-bec est d'un toupet sans égal ni limite et il est, j'en suis convaincu, un véritable danger pour le Royaume tout entier.  »
~ Sa seigneurie, le duc Erik de Josselinière, au conseil ducal bourguignon

Chronologie

Précédé par Aurelien. Suivi par
Fitzounette
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Duc d'Anjou
(12 mai au 6 août 1458)
Tiss