Duncan Idaho

De Wiki de l'histoire HRP des RR.

Sommaire

Biographie

L'arrivée en France

Manger pour vivre, Duncan fait tout pour pourvoir à cette devise aussi souvent que possible ! Et qu'il fût dur pour un anglois échoué en France (à Dieppe) de se faire une place pour manger à sa faim.

Après s'être fait baptisé à l'Aristotelisme, il a vécu à Bayeux, où il avait rejoint Lysiane, celle qui avait su lui donner de précieux conseils pour survivre. Et après avoir sué pour gagner son lopin de terre et élever des vaches, il s'est marié avec elle, n'écoutant que son coeur.

Le voyage

Lors des périodes de troubles de Normandie et de Bayeux, Lysiane et lui s'en sont allés à Loches, y démarrer une nouvelle vie. Mais les problèmes économiques ducaux, et la guerre aussi les avaient rattrapés, alors ils s'en furent à Vesoul, en Franche-Comté, dès que celle-ci fût ouverte au peuplement.

C'est là alors qu'il a démarré sa carrière politique, car il y trouvait par là le moyen d'aider son prochain, tandis que certains y préféraient la guerre pour établir l'ordre.

Sa nouvelle patrie, la Franche-Comté

Après avoir été policier, il a fait plusieurs mandats en tant que maire de Vesoul, et plusieurs mandats au conseil comtal, à divers postes. Il a ainsi pu défendre les intérêts des Franc-Comtois et la démocratie au mieux malgré les tyrannies de quelques listes que la Franche-Comté a dû subir.

En mai 1454, il a vaincu la liste aux meneurs les plus despotiques qu'il soit : Bralic et Loicisdumb. La liste dont il a été à la tête à ces élections comtales gagnant 8 postes, il fût élu Franc-Comte. Ainsi il pût se consacrer mieux que jamais à ce qui était devenu pour lui un devoir : travailler pour le peuple.

Hélas, entre temps, sa femme Lysiane mourût en mettant au monde une merveilleuse petite fille. Duncan, veuf épleuré, nomma alors sa fille Lysiane, en souvenir de sa femme, et décida de l'élever seul. La petite allait devenir une prodige à l'image de sa mère.

Mais dans le même temps, ces ennemis qui avaient été battus aux élections continuaient leur travail de sape. Non-contents de jouer les martyrs, voire de se croire obliger de fuir à l'étranger plutôt que d'affronter leurs échecs de face, il continuèrent leurs critiques continuelles, attaques ouvertes, et même révoltes, allant même jusqu'à monter un dossier de fausses accusations pour haute-trahison. Heureusement, ceux-ci ne parvinrent jamais à leurs fins, malgré les fortes agitations qu'ils créèrent.

Malgré qu'il n'ait pu entreprendre tout ce qu'il aurait voulu à cause de leurs actions, Duncan est fier de ce qu'il a aidé à réaliser : empêcher des despotes d'arriver au pouvoir, remettre d'applomb la démocratie malmenée par les réformes du conseil qui précédait, renforcer les institutions et lois Franc-Comtoises.

Après un court repos, il reprît les armes politiques pour combattre le despotisme terroriste de certains extrèmistes de la région, au niveau comtal mais aussi impérial, en s'investissant en tant que Maréchal d'Armes Impérial. Et après quelques mois difficiles, le peuple a continué de montrer sa confiance en ses amis et lui, aux vues des résultats des élections comtales auquelles il avait participé, et ce malgré la trahison de celle qui avait été son amie.

Un temps de repos

Après que la Franche-Comté eût retouvé une certaine stabilité politique, Duncan s'offra alors à nouveau une pause pour se consacrer à son amour, la tendre Sigismonde, rencontré un jour à l'occasion d'un bal masqué à Vesoul. Le mariage suivît peu après.

Quelques mois plus tard, la santé de sa femme se dégrada un peu, calme et tranquillité lui fûrent prescrit pour mener à bien sa grossesse et c'est pourquoi Duncan laissa tout derrière lui pour que les combats politiques incessants ne les troublent pas, que tous deux puissent jouir à nouveau d'une vie de famille heureuse et épanouie. C'est à l'occasion de ces voyages qu'il entra alors à l'Ordre Teutonique, duquel sa femme étant déjà membre. Après avoir été en Hollande puis en Angleterre, c'est le 14 août 1455, à Kendal, que naquît alors leur petite Marie-Madeleine.

C'est ce même jour que mourût le grand despote Bralic, qui a force de vouloir imposer sa tyrannie en Franche-Comté avait fini par lever assez d'hommes et de femmes contre lui pour que ces derniers attentent à sa vie. Ce jour là, les despotes de Franche-Comté que Duncan avait toujours combattus se s'étaient découverts au grand jour, et le peuple Franc-Comtois ne semble plus prêt à les laisser agir une nouvelle fois depuis.

Le retour

Alors Sigismonde et Duncan décidèrent de rentrer chez eux, en Franche-Comté, alors qu'ils s'étaient échoué quelques temps à Cahors à Guyenne. Le chemin de retour fût long, surtout avec leur petite en bas-âge, et la maladie qu'ils avaient contractés, mais l'arrivée fût un grand soulagement. Aujourd'hui malades, ils ne pourraient plus bouger trop loin ni l'un ni l'autre, réduisant à presque néant leurs possibilités d'actions pour l'Ordre Teutonique. Heureusement leur petite Marie-Madeleine n'est pas touchée.

Description physique

Physiquement, Duncan mesure 1,70m, cheveux noirs et glabre, en bonne forme physique de part ses longs travaux passés aux champs. Il est habituellement habillé d'une chemise blanche, de braies bleues et d'un chapeau de la même couleur. Il porte parfois par dessus un large tablier quand il exerce son métier de boucher, ou porte alors un pourpoint en velour bleu quand il exerce ses fonctions politiques. Il porte aussi une épée courte qu'il manie rarement, et est toujours souriant et aimable. Aujourd'hui, il peut avoir l'air parfois bien fatigué, à cause d'une maladie inconnue qui l'affaiblit.

Fonctions occupées et statuts

Heureux époux de Sigismonde. Père de Lysiane, 2ème du nom, et de Marie-Madeleine. Comte de Morteau, en Franche-Comté. Maréchal d'Armes Impérial de la hérauderie du Saint Empire.

Blason et bannière

(à venir)