Erwin
Erwin Adams de Mélincour dit le jeune.
Âgé d'environ 16 printemps.
Fils légitime de ses parents : Greenwarrior Adams de Mélincour et Feue Kaya de Sullyvan.
Né le 11 juin 1441 à Vesoul.
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Description
D'une taille de 6 pieds, Erwin est grand. Ayant poussé rapidement et de par son âge relativement jeune, sa musculature n'est pas assez développée pour qu'on la devine sous la masse de ses vêtements, mais il a la musculature d'une personne qui ne se laisse pas allez à l'oisiveté, bien qu'il ne cache pas être fainéant.
Il porte des vêtements et armes de qualité, qu'il veille à faire entretenir avec soin, et qui sont ses seuls biens de valeur.
Des cheveux châtains/bruns assez longs et rarement coiffés encadrent son visage fin. Des yeux d'un marron clair tirant sur le vert, et un sourire charmeur terminent le tableau.
Il n'a rien physiquement de l'homme mûr et viril, et se reconnait lui même fluet et légèrement efféminé. Seules des cicatrices plus ou moins visibles (selon la présence ou l'absence d'habits), mettent en évidence qu'il sait se battre et n'hésite pas à le faire.
Histoire
Son enfance
Erwin naquit en Franche-Comté dans le courant de l’an de grâce 1441. Cadet de 2 ans d’une sœur très aimée par leurs parents. En particulier par leur père qui monopolisa tellement la fillette, que lorsqu’elle se sut de nouveau enceinte, leur mère un peu jalouse de la relation privilégiée de son mari avec leur fille, préféra cacher sa grossesse et la naissance d’Erwin, en disparaissant pendant 5 mois du domicile conjugal.
Peu après son retour au foyer, elle fit faire un ajout dans le corps des domestiques où la nourrice du nouveau né, fut prise comme servante et l’enfant présenté comme celui de la nourrice. C’est ainsi qu’il put grandir au domaine familial, même si ce fut toujours dans la coulisse.
Sa vie ne fut pour autant jamais difficile, il passa son temps à vagabonder sur le domaine pour rendre quelques services, ou dans le corps d’arme à regarder les soldats s’entrainer et apprendre lui-même les armes. Il eu la chance de pouvoir apprendre un peu aussi la lecture, l’écriture et l’arithmétique.
Il reçut l’affection de sa mère lors des moments qu’elle lui accordait toujours dans le secret. Et celui de sa nourrice le reste du temps. Sa nature joyeuse et généreuse lui permit d’avoir de plus l’estime des autres domestiques de la baronnie. Si bien qu’il ne manqua jamais d’amour et malgré l’époque qui aurait pu être difficile pour le fils de personne, il put s’épanouir, devenir et rester une personne calme et aimante.
Il ne chercha pas à parler à son père, car sa place lui permettait de le voir, lui et sa sœur, de voir l’amour entre eux qui parfois blessait sa mère. Et si jamais il ne leur en voulut, il ne voulut pas plus blesser sa mère en parlant. Il n’envia pas sa sœur non plus, car n’en ayant jamais manqué, il ne cherchait pas l’attention.
Ce statu quo perdura pendant la quinzaine d’années qui suivirent sa naissance, sans qu’il ne gène personne, et s’il aurait pu perdurer ainsi jusqu'à ce qu’il soit vieux, ce n’est pas ainsi que ça se passa. Un jour sans qu'il ne sache pourquoi sa mère disparu, et fut finalement retrouvée morte.
L’âge d’homme
Prenant pour la première fois conscience que la mort finissait toujours par faire son œuvre, et que la vie ne pouvait pas se résumer éternellement à ce qu’il avait connu jusqu’ici. Il prit ses armes et ses vêtements les plus beaux, offerts par sa mère de son vivant, ainsi que le peu d’argent qu’il avait, et parti faire son deuil sur les routes, à la recherche de la découverte de la vraie vie, bien conscient que les hommes avaient toujours travaillés pour pouvoir vivre, et que si jusque là sa vie avait été facile, il était temps que cela change.
Son voyage se termina lorsqu’il comprit que tous les villages et leurs habitants étaient les mêmes. Que la vie était plus au moins difficile selon la classe de chacun, et que lui n’avait pour l’instant sa place nulle part. Pour y remédier, il faudrait qu’il parle enfin à son père, que celui-ci décida de le reconnaître ou non, pour qu’enfin il soit l’enfant de quelqu’un, ou définitivement celui de personne. Ensuite viendrait le temps de se construire un avenir.
Son retour en Franche Comté fut aussi discret que son départ. Et sa "première" rencontre avec son père se passa mieux que prévu. Ressemblant à celui ci lorsqu'il était jeune, il le crut immédiatement. L'annonce ne se fit pas sans choc pour son père et sa nouvelle compagne, mais il s'installa tout de même chez lui, et fut tout de suite reconnu comme son fils.
Poursuivant son désir de prendre sa place dans son monde, il fit les démarches pour entrer à l'armée ainsi qu'à la hérauderie impériale, il fut finalement nommé recrue et poursuivant d'armes de Franche Comté. Parallèlement, il décida de suivre sa "belle-mère" en voyage, pour éliminer les tensions entre eux.
Ce voyage ne réussit pas réellement, dans le sens où certaines découvertes sur Hortense aidèrent à les maintenir fermement ennemis. Et aussi parce qu'il dut les abandonner en Auvergne pour faire demi tour. Sa présence étant requise pour la cérémonie des allégeances de Franche Comté. Et une histoire datant de son voyage de deuil, le rappelant auprès d'une femme... Qu'il retrouva à son retour morte de la phtisie, le plongeant dans un nouveau deuil.
Le 28 août 1457 date à retenir, bouleversant toutes ses idées reçues, il se rend compte que son image de l'amour comme un charmant sentiment qui est loin d'être transcendant et de retourner les sens, n'est pas la vérité. La vérité lui apparait sous la forme d'un coup de foudre, chose qu'il aurait pensé comme impossible jusque là, la raison supplantant pour lui les sentiments. Mais un seul regard lui suffit à lui faire perdre sa précieuse raison, se retrouvant obligé d'attirer son attention pour réussir à être heureux...
La vie est parfois injuste, et parfois tellement agréable. Les jours s'écoulent dans le bonheur d'un amour sincère et partagé, malgré une forte tendance à la discorde. En parallèle ses occupations lui prennent tout son temps : Elle, les cérémonies, la famille, l'armée. Tout va bien, presque un mois, ce n'est pas beaucoup, mais quand on est heureux on ne compte pas, il l'a demande en mariage, elle accepte, les voila fiancés. Le mois est révolu, et ils découvrent qu'ils feraient mieux de se marier bien vite, le bonheur est à son comble.
Le bonheur ne peut durer trop longtemps, sur le plan sentimental il perdure, à l'armée aussi où il devient infirmier, mais après un peu plus de deux mois à la hérauderie, las de l'attitude de certains il démissionne, l'institution ne fait pas bien son travail et les hérauts n'agissent que dans leur propre intérêt, et il ne le supporte pas, il abandonne un poste pour lequel il était fait à contre cœur. Mais incapable de rester à ne rien faire, et n'ayant pas envie de se plonger dans la politique, il postule au poste de Juge à la Cour d'Appel Impériale, après trois semaines d'attente et de prières, il est nommé Juge Impérial.
Courir, faire le ménage, courir, faire le ménage, partir en mission au sein d'une armée totalement désorganisée... Les jours se suivent, et l'ennui s'encre dans son cœur, sa sociabilité en pâti, son couple aussi. N'en tenant plus et voulant sortir de cet état qui le mine, il démissionne de l'armée, la vie continue entre le mariage qui s'approche et la cour d'appel qu'il découvre.
Le 5 novembre alors qu'il court après un chien dans la forêt, un homme l'assomme puis l'enlève. Sans qu'il ne sache pourquoi le voilà obligé de "suivre" cet inconnu loin de FC, espérant pouvoir y revenir un jour.
Pendant 8 jours il lutte comme un forcené pour se libérer et rejoindre sa fiancée à temps pour le mariage. Il collectionne les coups, s'échappe de peu, se fait rattraper, tabasser et le cycle recommence. Une fois la date du mariage passé, il fini par se calmer jusqu'à endormir assez ses ravisseurs, et enfin 40 jours après son enlèvement, il réussit à s'enfuir en tuant le ravisseur de garde.
Pour perdre sa liberté quelques minutes après, rattrapé par les gardes d’un diplomate Bourguignon. N’en pouvant plus il lutte comme jamais, sans ne plus chercher à se préserver, si bien que lorsque le bourguignon le relâche une semaine plus tard, il est au bord de la mort, épuisé physiquement, moralement et blessé sévèrement. Après une rencontre avec son ancienne fiancée où elle l'achèvera moralement en le rejetant définitivement, et en l'accusant, pour une disparition de sa part bien involontaire, il passera le mois qui suit à se reposer à Dole, un village calme et presque mort, étant attiré par la similitude entre son état et celui du village, bien décidé à éviter celle qui disait l'aimer et qui pourtant se mariait avec un autre deux mois après sa disparition.
L'histoire entre eux n'est pas finie, n'ayant de cesse de se courir après, puis de se rejeter, l'un après l'autre. Son mariage à Elle ne change rien de leur amour incompréhensible. La violence des sentiments s'exprime en mots et gestes violents, malgré leurs caractères pacifiques. Au court d'une dispute, il se plantera une dague dans le ventre, qui provoquera une infection, le clouant au lit pendant une semaine, lui faisant effleurer la mort.
Il faudra encore une rencontre avec son mari, pour qu'il se rende compte qu'elle se fou vraiment de lui, le manipule et le salit par derrière. L'amour se transformera en haine, et n'étant pas d'une nature mauvaise, que rapidement ça ne soit plus que de l'indifférence. Retrouvant sa pleine raison, il reprend goût à la vraie vie bien décidé pour un temps à éviter les femmes... Sauf si le sort s'en mêle de nouveau... Et le sort n’est pas du genre à vouloir rester sur la touche. Février commence par une rencontre importante, la prise de la direction de l’Ave Saoul Production et son intégration à la gendarmerie de Vesoul.
Il s’ennui bien vite à la gendarmerie, le métier est intéressant, mais peu d’affaires, et il se sent prisonnier de Vesoul. Il a besoin de retrouver sa liberté de mouvements, aussi démissionne t’il une fois le mois terminé. Il ne quitte pourtant pas Vesoul et se décide à se lancer encore plus dans l’animation. Gardant à coté de ça son temps libre pour Elle.
Arbre familial
Adams de Mélincour
Fils légitime et héritier de Feue Kaya et de Greenwarrior Adams de Mélincour
Frère cadet de Feue Aleks Adams de Mélincour
Oncle de Negan de Margny-Riddermark Adams de Mélincour
Neveu de Lluna Adams de Mélincour, Riese d'Ollivaud et Artifice d'Ollivaud
Filleul de Debenja von Riddermark
Fonctions
Juge à la Cour d'Appel Impériale
Membre du parti MCPP
Membre du comité des fêtes de Franche-Comté
Gérant de l'Ave Saoul Prod
Conseiller municipal vésulien
Ex Soldat et Infirmier de l'armée de Franche-Comté (de début juin à début novembre 1457)
Ex Poursuivant d'Armes Impérial de Franche-Comté (de fin juillet à début octobre 1457)
Ex Gendarme à la brigade de Vesoul (pendant le mois de Février 1458)
Description par les autres
il a un gros égo
il peut être obstiné par moment
j'ignore s'il est très honnête... mais ce que je sais.. c'est qu'il est très mesquin..
il porte des jugements rapide... il déteste tout ce qui est joyeux..
il est taciturne, déteste s'amuser..et je crois qu'il est mesquin.. très sournois...
il est très sérieux... à en devenir ennuyant, je pense qu'il pourrait faire un bon juge.
plutôt brillant et plutôt agréable à l'oeil
le puceau à la gueule d'ange est devenu tombeur de ses dames