Lapinus27
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Présentation succinte
Lapinus est un homme d’une cinquantaine d’années. Peu peuvent prétendre l’avoir vu autrement que vêtu d’un long manteau à capuche de couleur foncée. Il n’est pas bavard de nature, mais il a cette faculté qui fait que lorsqu’il parle, tout le monde l’écoute. Savoyard de naissance, il le restera de cœur pour toujours et, malgré ses nombreux voyages, une pointe de nostalgie persiste au fond de son cœur qui n’est pas si dur qu’il n’y paraît.
Charges occupées actuellement
- Soldat Hospitalier
- Ambassadeur de l'Ordre de l'Hospital de Saint Jean de Jérusalem en SRING et dans l'ordre royal du Saint-Esprit
- Ami lescurien
Résumé des charges et titres occupés par le passé
- Duc d'Ivrée
- Officier-Chevalier civil de l'Ordre Honorifique Savoyard
- Héraut de Savoie
- Poursuivant d’Armes de Savoie
- Procureur à la Cour Suprême Impériale
- Chancelier de Savoie
- Juge de Savoie
- Connétable de Savoie (X2)
- Prévost des maréchaux de Savoie
- Ambassadeur de Savoie en Alençon et en Périgord
- Juge de l'Alençonnais
- Procureur de l’Alençonnais (X2)
- Chancelier de l’Alençonnais
- Maire d'Argentan
- Greffier à la Cour d'Appel du Royaume pour l'Alençonnais
- Recteur de l'Alençonnais (2 mandats, 4 mois)
- Fondateur du VROUM
- Membre de l'Assemblée Populaire Alençonnaise
- Rédacteur pour l'AAP (X2)
- Ambassadeur de l’Alençonnais en Savoie, Languedoc, Bourbonnais et Auvergne et bien d'autres provinces
- Membre du conseil économique de l'Alençonnais (X4)
- Rédacteur en chef du journal ducal alençonnais
- Responsable de la filière blé-farine-pain à Argentan (X2)
- Négociateur pour Argentan au JAL (Jumelage Annecy-Lisieux)
- Correspondant local d'Argentan au JAL (jumelage Annecy-Lisieux)
- Conseiller municipal d’Angoulême (X3)
- Responsable cueillette d’Angoulême (X2)
- Co-coordinateur de la coopérative d’Angoulême
Biographie complète
La naissance et les débuts
Né à Annecy, il s’intégra assez rapidement mais dût bientôt quitter cette ville pour Angoulême, en Périgord, où il proposa ses talents en économie au maire actuel. Il devint conseiller à la cueillette puis co-coordinateur de la coopérative angoumoisine, qu’il s’appliqua à gérer du mieux qu’il pouvait avec son ami Benjamin06.
Premier lancement en politique
Il ensuite se rendre à Argentan, où sa mère lui mourut dans les bras et où il fit son deuil. Il en reste marqué toujours aujourd’hui. Il proposa une fois de plus ses talents d’économiste au maire et fût conseiller municipal un bon nombre de fois. Comme l’Alençonnais allait au plus mal, il décida de monter une liste pour redonner une nouvelle jeunesse à sa terre d’adoption.
Il devint alors chambellan et re dynamisa toute la chancellerie alençonnaise, si bien que ses institutions en diplomatie sont toujours aujourd’hui utilisées. Il fut également procureur, et durant son bref mandat il s’efforça de dénoncer les magouilles du conseil et du prévost de l’époque. Il fut à la suite de cela mis en procès et condamné par la pairie à une amende.
Un homme d'état avisé
A la suite de ce procès et de la réforme de la Pairie, il décida de laisser tomber la politique ducale pour un moment et devint maire d’Argentan. Son mandat se passa sans histoires et il fit faire des bénéfices à la ville. Il devint par la suite ambassadeur en Languedoc et en Bourbonnais-Auvergne.
L’intendance touchait à sa fin, et Lapinus décida de se relancer dans la politique ducale. Il monta une nouvelle fois la liste VROUM, qui obtint 4 sièges, contre 8 pour son adversaire. Décidé à servir son duché malgré la défaite, Lapinus devint juge de l’Alençonnais, et rédigea un nouveau coutumier, bien plus clair que le précédent. A la suite d’un accord passé avec le procureur, il inter changèrent leurs postes, et Lapinus devint donc procureur. Il dut régler à une délicate affaire : deux procès à l’encontre d’un conseiller ducal qui ne tournait pas rond…
La retraite et la révélation
Epuisé par sa longue carrière, Lapinus décida de prendre sa retraite politique définitive, qu’il jugeait bien méritée. Il se vit alors confié plusieurs charges non-politiques, qui ne demandaient pas d'être élu : il devint donc recteur et greffier à la cour d'appel. Il s'appliqua, comme il l'avait fait avec tous ses postes et depuis toujours, à effectuer son travail du mieux qu'il pouvait.
Il passa, à ce qu’on lui raconta (car il ne se souvient de rien) très près de la mort, et à son retour dans le monde des vivants il demanda aussitôt à se faire baptiser. Après avoir suivi le catéchisme, il fut baptisé le 28 juillet 1455 en l’église Sainte Mamet d’Argentan par l’abbesse Lexartey, avec comme marraine Tophie et comme parrain Belgian.
Moins de deux mois plus tard, il était admis au sein de l’ordre de l’Hospital de Saint-Jean de Jérusalem au garde de Cadet.
Le retour aux sources
Le 9 août 1455 il démissionna de ses postes de recteur, de greffier et d'ambassadeur et prit la route de sa Savoie natale le lendemain, s'arrêtant chaque fois qu'il pouvait enseigner, suivre un cours ou lire un livre...
Il traversa un Royaume s’embrasant sous l’impulsion du conflit Tourraine-Berry et arriva à Bourg le 27 septembre. Là-bas, sa marraine Tophie l’attendait avec une bien mauvaise nouvelle : Poilu, son ami de toujours et mari de Tophie avait disparu…
Il soutint sa vassale Tophie dans son deuil, en essayant lui-même de surmonter cette dure épreuve…
Le sort semblait s’acharner sur Lapinus : ses frères Guerlan et [[Molui] décédèrent à leur tour, et il devint alors Duc d’Ivrée, s'efforçant ainsi de perpétuer la gloire de ses frères, malgré tous les opposants à sa venue au sein du ban savoyard...
L'apogée
Lapinus avait rencontré celle qui lui apparaissait comme la femme de sa vie : Evalea. Sentant des ailes lui pousser grâce à cet amour, Lapinus se relança dans la politique et devint Juge de Savoie. A défaut de ne pas avoir convaincu la hérauderie royale, il convincut la hérauderie impériale, et devint poursuivant d'armes de Savoie. Une travail immense l'attendait : il avait à rattrapper le retard accumulé par un héraut absent et devait gérer toute la hérauderie de Savoie à lui tout seul, en parallèle avec ses charges de Juge.
Ayant plus que jamais envie de travailler, certainement grâce à la seconde jeunesse que lui offrait Evalea, il enchaîna sur un second mandat et devint alors chancelier. C'est certainement à ce moment-là que Lapinus fut à son apogée : il était toujours Duc d'Ivrée et Chancelier, mais remplaçait en plus les conseillers absents, avait été décoré Officier-Chevalier civil de l'Ordre Honorifique Savoyard, avait été promu Héraut de Savoie et nommé Procureur à la Cour Suprême Impériale. Parallèlement, la gloire montante de Lapinus et les rumeurs le présentant comme le futur Duc de Savoie gênaient nombre de conspirateurs au sein du ban savoyard, mais Lapinus n'y prêtait guère attention, tout à son bonheur...
La chute
Lapinus ignorait tout des pressions exercées sur Evalea, tant il avait confiance dans leur amour, qu'il pensait inébranlable : elle lui avait même annoncé qu'elle était enceinte ! Pourtant, ses ennemis politiques ne voulaient pas le voir à la tête du duché lors de la retraite d'Evalea, et forcèrent alors la main de celle-ci par des menaces, et Lapinus entama sa brutale déchéance...
Une affaire de pseudo-espionnage vieille de 2 mois fut remise à jour pour l'occasion, et Lapinus fut inculpé de Haute Trahison. Il fut suspendu de tous ses offices impériaux et démissionna du conseil. Au terme d'une parodie de procès criblé de vices de procédure, Lapinus fut reconnu coupable de presque tous les chefs d'accusation et purgea une peine de prison assortie d'un inégibilité. Il dut quitté la hérauderie et la cour suprême, et renonça à son fief d'Ivrée. Ses détracteurs se frottaient les mains et Lapinus ne fut bientôt plus qu'une loque humaine, une ombre errante les couloirs de l'université savoyarde où il s'était réfugié... Beaucoup ne lui donnaient pas un mois à survivre...
Une fin de vie pieuse
Se réfugiant physiquement à l'université, Lapinus se réfugia psychologiquement dans sa foi, qui n'avait fait que croître durant ces épreuves. L'abbesse qui l'avait baptisée, Lexartey, ne lui avait-elle pas appris que le Très-Haut nous envoit des épreuves pour etster notre foi en lui ?
Le Tout-Puissant, visiblement satisfait du maintien de sa foi, lui offrit la seule chose qui pouvait le faire survivre : une fille. Ysalis, âgée de 18 ans, venair de quitter un couvent en Confédération Helvétique et l'avait rejoint au chasteau d'Ivrée.
Abandonnant toute charge temporelle, il postula à l'ordre lescurien et passe désormais son temps entre l'ordre Hospitalier, l'ordre Lescurien, l'Université de Savoie et l'éducation de sa fille...
Bientôt, il se rendra certainement en Franche-Comté, où réside son futur gendre...