Sindbad

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Les origines

Sindbad est un amnésique qui, au fil de son séjour au Royaume de France, recouvre progressivement la mémoire.

Son réveil s'effectue au cours du mois de septembre 1455 au Couvent Sainte Marguerite de Cahors. S'exprimant dans une langue exotique que les Soeurs ne comprennent pas, celles ci l'affublent du surnom de Sindbad, référence au héros d'un conte moyen-oriental consultables en leur bibliothèque. Elles le conduisent alors jusqu'en cette ville après lui avoir donné quelques haillons.

A force de travail à l'Eglise et à la mine, et grâce aux Conseils avisés de Marion et Random d'Ambre, ainsi qu'un don en argent de Menefer, Sindbad acquiert rapidement un champ de maïs. Mais sa mémoire lui manque toujours.

Carrière municipale

Lors de la campagne municipal d'octobre 1455, il choisit d'accorder son soutien à la diaconesse de Cahors Squirel78, qui l'a prise en sympathie. Pari gagnant, puisqu'il se retrouve conseiller municipal de Cahors aux côtés de Griffes, Amaurydumans ou Mythe11. Et c'est tout naturellement qu'il se trouve au Conseil municipal du maire Mythe11 en novembre 1455, notamment aux côtés d'Aruna, de Marion, de Random d'Ambre, Pink69, bref tous ceux qui l'ont accueilli à Cahors.

A la recherche des souvenirs perdus

Mais sa mémoire revient par bribes. Un tatouage en grec sur son épaule et la perspicacité de Nalyss, la compagne d'Azkaban, lui permettent d'établir de manière formelle qu'il est un des ressortissants de Constantinople. C'est par Nalyss qu'il est introduit à la Voie d'Averroès, la communauté qu'elle dirige en tant qu'astrologienne aux côtés d'Alianor d'Aiguebrune. C'est là qu'il croisera de nombreux habitants du Royaume, parmi eux Kallias, dict Truth le Scorpion, rescapé par miracle d'une attaque en Anjou. Mais il ne se convertit pas pour autant. Des bribes souvenirs de cérémonie de baptême lui permettent de prendre conscience qu'il est bien aristotélicien, même si le rituel religieux orthdoxè pratiqué à Constantinople diffère de celui de Rome.

Début janvier 1456, Sindbad est en voyage à Marmande lorsqu'il se voit en rêve, le cadavre d'un homme à ses pieds et une épée sanglante à la main. Ce rêve le hante. Il faut même toute la persuasion de ses amis pour qu'il ne se livre pas à la justice. Mais quelque chose est déjà en marche. En août, alors qu'il est venu assister au couronnement du Comte d'Armagnac, le diplomate rencontre incidemment un mécréant coiffé d'un foulard qui jure en italien. Sindbad lui fait remontrance, l'homme s'excuse, mais le constantinopolitain a été effrayé par cette rencontre. Ses craintes se concrétisent lorsqu'un soir, il retrouve l'italien sur le pas de sa porte. Celui ci prétend qu'il est le voleur d'une relique appartenant à l'Ordre de la Pierre-Dieu, l'assassin de son gardien, et qu'il doit retourner à Venise pour y être jugé et condamné. Sindbad refuse. Un combat s'ensuit entre les deux hommes. Sindbad reçoit, à cette occasion, un coup de dague à deux doigts du coeur. Il faut tout le savoir-faire médical de Nictail et son épouse Aiguemarine, également ambassadrice de Guyenne en Bourbonnais-Auvergne pour sauver la vie du Chambellan de Guyenne.

La Guyenne n'est désormais plus sûre pour le constantinopolitain, qui se résoud à quitter sa fonction et le Duché auquel il doit beaucoup pour aller s'établir à Montpensier, en Bourbonnais-Auvergne. Il rencontre en forêt de Montpensier Aparajita, une mystérieuse femme-louve indienne qui prétend que Ganapati l'a acheté sur le marché d'Hampi et emmené avec lui à Venise, où elle a appris l'italien. Cette même nuit, il combat Catalin Lupescu, membre de l'Ordre de la Pierre-Dieu et mentor d'Aparajita, qui veut les ramener tous les deux à Venise. Le combat sera narré le lendemain en place publique de Montpensier par Theobald, ménestrel itinérant perché en haut d'un arbre. Celui ci s'est juré de suivre Sindbad dans tous ses déplacements, afin d'avoir la primeur de l'histoire exceptionnelle de sa vie, lorsqu'il retrouvera sa mémoire. Pour vivre, il chante sur les places de villages et commente les matchs de soule de l'équipe des Bûcherons de Montpensier.

Désireux d'approfondir ses souvenirs afin de savoir avec certitude s'il a ou non commis ces actes, Sindbad rencontre à Montbrisson Juliette1357 qui l'hypnotise. Tout ce qu'elle réussit à en tirer est un poème :

Or ce jour arrivera,

Le mot que tu entendras

Ans oubliés ramènera''

Maintenant tu sais où tu vas''

Là bas elle te contactera'

Ces vers laissent Sindbad perplexe pendant un temps, et il faut l'inspiration de Tiadriel pour comprendre que le lieu où aller est Orléans. Mais cette révélation signifie que son amnésie n'est pas la conséquence du coup d'épée reçu, mais d'un blocage généré par hypnose. Qui a fait cela et pourquoi ?

Carrière ducale

Longtemps réticent à l'idée de siéger au Conseil de Guyenne, Sindbad se laisse finalement fléchir par ses amis Mythe11 et son mentor diplomatique Phénix50. Il entre au parti JPG (Justice pour la Guyenne) où il fait la connaissance de Jeroen. Mais il attend avril 1456 pour se présenter en quatrième place de la liste et entrer au Conseil de Guyenne aux côtés, notamment de son compatriote cadurcien Izidore. Les provinces du Rouergue, de l'Armagnac-Comminges, de Gascogne, du Béarn et de Toulouse viennent d'être ouvertes. C'est du Rouergue que viendra l'armée "Nihil Obstat" commandée par Nilas d'Artignac, qui s'emparera de la mairie de Cahors. Blessé en défendant Cahors le 9 mai 1456, Sindbad recevra des mains du maire de l'époque, SednaX, une médaille commémorative.

Carrière diplomatique

En novembre 1455, il accepte également d'accompagner son maire Mythe11, ambassadrice de Guyenne auprès de la Bretagne, au bal diplomatique organisé en Guyenne. Là, il se souvient également d'une conférence diplomatique internationale organisée à Samarcande, au coeur de l'Empire Mogol. Fasciné, il entre quelques jours plus tard au service de la diplomatie guyennoise comme ambassadeur de Guyenne auprès de la Cornouailles. En janvier 1456, le Chambellan Phenix50 le nomme Vice-Chambellan auprès des Royaumes d'Angleterre et d'Ecosse. En mars de la même année, le voilà Vice-chambellan de Guyenne. Et en avril 1456, le voilà promu Chambellan de Guyenne, poste qu'il occupera jusqu'à sa démission en septembre 1456 et son départ pour Montpensier, en Bourbonnais-Auvergne. Durant ces six mois, il reconstitue une équipe diplomatique autour du bazadais Mischmetal2 et de la neo-agenaise Aiguemarine. Il rédige le traité de paix avec l'Armagnac-Comminges, dict traité de Castelnau d'Estretefonds, qui fait suite à l'occupation d'Agen par les armées d'Armagnac. Au cours d'une réunion diplomatique naît le protocole d'échanges universitaire. Il organise la Conférence des provinces du sud en septembre 1455 pour amorcer la mise en place d'une alliance du sud afin de faciliter la lutte contre les bandes armées qui déstabilisent la région. Suite à ses états de service, la Guyenne le décore de l'Ordre de la Rose d'Aliénor, ordre guyennois du mérite. Mais, suite à son départ de Guyenne, la diplomatie lui manque, et il entre alors à l'Ambassade Royale de France, en tant qu'ambassadeur auprès de la couronne anglaise.