Rhân

De Wiki de l'histoire HRP des RR.


Sommaire

Biographie

Enfance et débuts

Rhân est né dans les années 1430 dans le petit village de Patay dans le Duché d'Orléans. Son enfance est calme et sans histoire particulière digne d'être relatée ici. Il grandit dans son village et développe petit a petit ses aptitudes à la lutte et ses relations.

En 1454, il décide de s'impliquer un peu plus dans la vie de son village. Comme a chaque fois dans sa carrière future, il commence humblement à la base avant de s'élever peu à peu. Sous le mandat de LadyMarianna il commence à s'occuper de son village Patay en occupant divers postes de conseillers municipaux.


Dans le même temps, il s'engage le 9 avril 1454 dans l'ost de son duché, et signe pour la cavalerie. Là il va s'entrainer durement et devenir l'ébauche du grand soldat futur, affutant peu à peu sa technique du combat.

C'est à cette époque qu'éclate le conflit en Anjou, le jeune soldat Rhân y est mobilisé et y accomplit sa première campagne militaire sous les ordres du duc d'Orléans Amro. Avec l'armée ils vont jusqu'à Saumur puis reviennent dans une charmante promenade sur les bords de la Loire. Il y reçoit pour preuve de sa présence à l'expédition de la guerre d'Anjou la première de ses médailles, celle de Saumur.


De retour à Patay dans son village il reprend ses activités municipales dans le conseil municipal de LadyMarianna puis de PaddyRomy sa successeur. Il va par ailleurs commencer à s'impliquer au niveau ducal, devenant ambassadeur en Limousin-Marche, puis se faisant remarquer dans le milieu des ambassades, il se voit confié par dame Aleah la chambellan une seconde région, celle du duché d'Alençon qui vient d'être créé et qui bouillonne rapidement, nécessitant une présence constante.


Pendant l'été 1454, l'ost d'Orléans va se réorganiser et changer de caserne pour investir le château d'Orléans. A l'occasion de cette réorganisation et à la suite de quelques départs, il obtient directement le grade de sergent du fortin de Patay pour s'être fait remarquer en Anjou. Il commande alors les soldats de Patay.

Dévelopement au niveau municipal et ducal

En septembre 1454, alors que le maire PaddyRomy décide de s'impliquer dans le duché, elle et LadyMarianna le convainquent de se présenter aux municipales de Patay. Celle-ci le forme longuement à la gestion d'une ville et le 11 septembre 1454, il est élu maire de Patay. Il va conserver la confiance des patichons et se faire réélire le 12 octobre 1454. Pendant ces deux mois, Patay sera prospère avec seulement une petite crise de la filière blé assez rapidement réglée, enrichissant les patichons et la municipalité. Il permettra aussi la diffusion rapide du programme de soutient au verger commencé plus discrètement sous le mandat de LadyMarianna.


Pendant ce temps il continue sa carrière dans l'ost orléannais devenant lieutenant en automne à la création de ce grade.


Lassé des occupations municipales, il va rejoindre la liste ducale de son amie patichonne Corouine et se fait élire au conseil ducal sous le mandat ducal d'Archimbaud. Il prendra le poste de Connétable. Il intègre alors l'État-Major du Domaine Royal (EMDR) et l'État-Major de l'armée orléannaise auquel il participera activement, y recevant la médaille du mérite de l'ost orléannais pour son travail.

De plus le développement des moyens de combat nécessitant l'armement des duchés en épées et bouclier, il va réaliser un programme ambitieux pour faire forger les armes, les collecter et les financer, faisant faire faire et achetant en deux mois près de 100 épées et autant de boucliers auprès des 4 municipalités.

A l'heure actuelle, aucun autre connétable n'a eu a en racheter pour compléter ce stock.

Troubles

A la fin de son mandat, il va reprendre les élections ducales mais au sixième rang et malheureusement sa liste n'obtient que 5 sièges. Il se consacre alors pleinement à l'armée et monte entre autre l'arrière ban de l'ost.

Mais les évènements se précipitent sur tout les plans.


Sur le plan militaire, les bretons et les angevins se soulèvent dangereusement contre l'autorité du Roy et l'ost Orléannais commence a partir en campagne, déjà à Blois où ils restent plusieurs semaines avant qu'un groupe aille en Anjou en traversant la Touraine. Rhân obtient du capitaine Sebbe le commandement des 3 lances parties en avant qui vont dépasser Saumur sans y entrer, puis pousser presque jusqu'à Angers avant de revenir à Chinon et y rester patienter longuement.


Sur le plan politique, le duché connait une crise majeure, la duchesse LadyMarianna est renversée par le conseil qui l'accuse d'être absente et incapable de gouverner, une régence est installée d'une manière très contestée et de nombreux conseillers des deux listes démissionnent. Par le jeu des démissions il se retrouve alors au conseil tout en contestant lui aussi la légitimité des choses en place.


Il réunit alors la colère des soldats qui se plaignaient de devoir attendre sans rien faire dans des villes étrangères, sans avoir d'informations sur la suite, ni sur leur avenir et qui de lassitude voulaient rentrer chez eux retrouver leurs amis et non plus rester à ne rien faire, inutiles, oubliés par la hiérarchie militaire qui semblaient n'en avoir rien à faire à part les utiliser quand bon leur semblait, à celle d'une partie de la population orléannaise qui ne se reconnaissait plus dans ce conseil déchiré et composé de plus en plus de queue de liste au fil des démissions en une seule revendication publique exprimée sur la gargote d'Orléans.

Celle-ci entraina des réactions dans le duché et fût plutôt bien reçue par la population et même très favorablement par l'armée, mais lui valut quelques inimitiés profondes comme celle du régent Sebbe qui continua par la suite des mois durant dans des cadres aussi pittoresque que l'EMDR, nécessitant même parfois l'intervention du GMF lui-même pour calmer un peu la situation.


Toutefois après de longues discussions avec Sebbe il obtient un vote interne sur la necessité de dissoudre le conseil et de refaire des élections en croyant que vu la situation la proposition serait acceptée par le conseil, mais ceux qui étaient arrivés grâce aux démissions au conseil voulurent profiter de cette chance inespérée et rejetèrent en bloc la dissolution.

Fur et lui, qui étaient les derniers de leur liste avec de l'expérience décidèrent malgré tout de rester au conseil et de pas pas démissionner ce qui aurait réduit le conseil IG à 7-8 membres dont beaucoup sans aucune expérience et de fait l'aurait détruit, et de faire du mieux dans l'intérêt du duché. Il accepta un poste de Connétable a nouveau, pendant que Fur prenait en main le commerce du duché afin de finir au mieux ce malheureux mandat et recommencer sainement un autre.

Bretagne et Lieutenance-Générale

Alors que la mobilisation cesse enfin et que les soldats rentrent peu à peu de Touraine, les modifications apportées au niveau de la hiérarchie militaire des DR conduisent à la nomination d'un Lieutenant-Général dans chacun des duchés pour remplacer la suppression du poste de capitaine au conseil.

En Orléans, il fut décider que la caserne sélectionnerait par vote 2 candidats qui seraient ensuite départagés au conseil. Rhân se présente, face au capitaine de l'époque Sebbe et à un autre officier Dimitri38. Il ressort en tête du vote de la caserne devant Sebbe. Au conseil, tout deux sont à égalités, et c'est le régent qui était aussi Sebbe qui va finalement trancher en sa faveur le 4 mars 1455.


Dès sa nomination en tant que Lieutenant-Géneral, les hostilités reprennent et Rhân accompagnés des fortins de Blois et Patay, va rejoindre le capitaine royal Aconit dans le Maine. Ils s'installent à Montmirail quelques jours avant de partir vers l'armée d'Aconit au sud de Laval qui ne donne plus aucune nouvelle et ne se manifestera plus de toute la guerre, laissant à donc Rhân par défaut la pleine liberté de commandement, même si celui ci sur le moment était assez furieux d'être ainsi abandonné en pleine campagne mainoise par ses supérieurs.

Au final, il reprit donc le commandement total des opérations pour son armée et les envoya a Angers où ils combattirent pour prendre d'assaut la capitale de l'Anjou avec l'ensemble des armées royales rassemblées ici le 12 mars 1455. Là une fois la ville tombée, il y réunit ses troupes dont les dernières arrivaient et défendit la ville aux côtés de ses troupes pendant de longues semaines.


Puis les opérations reprirent, et toujours sans ordres de nulle part, il alla voir le Connétable de France Vinkolat à Angers pour demander l'autorisation de partir vers la Bretagne du sud, ce qui lui fût accordé à condition de laisser quelques troupes pour la défense d'Angers. A la tête de 4 lances, il se lance vers Nantes et y rencontre Strakastre et les troupes lyonnaises et après avoir discuté un peu décident de faire conjointement un raid dans les terres bretonnes avec au total une cinquantaine de soldats orléannais et dauphinois. Le 30 mars ils attaquent Rieux mais se font repousser. Ils repartent alors discrètement tous sans s'attarder vers Vannes et lancent un assaut le 1er avril, submergent les défenseurs de Vannes et entrent dans la ville conquise. Là Rhân reçoit au nom de son duché 50% du butin amassé lors de la prise de la ville, l'autre partie revenant dans les caisses dauphinoises.


A la tête de son armée, il revient rapidement vers Rieux et en commence le siège avec l'ensemble des armées royale du sud donc les capitaines font connaissances et s'installent pour travailler et établir leur plan chez Rochegarde capitaine de l'armée Limousine. Dans ce lieu, se retrouvèrent donc Rochegarde pour l'armée limousine, Strakastre pour l'armée lyonnaise]], Cuculus pour les lucioles et les tourangeaux, Duguesclin pour le Poitou, lui-même pour l'Orléannais et la liaison l'EMDR et enfin le GMF Juju.

Il y fut décidé du siège de Rieux, de la trêve pascale, de la suite de la guerre et de l'attaque de Rohan qui y fut décidée et programmée en commun pour rompre la monotonie du siège de Rieux et déstabiliser les bretons. Le depart fut donné le 9 avril et le 11 avril 1455, l'ensemble des armées royale du sud arriva devant les murailles de Rohan et donnèrent l'assaut qui fut victorieux dès la première tentative. Rohan fut gardé jusqu'au 16 avril, les révoltes étant mattées chaque jour, jusqu'à ce que l'EMDR nous demande de l'abandonner pour aider à Fougères.

Avant cela, en passant, un dernier assaut toujours sans succès fut porté contre Rieux puis ils partirent pour Rennes et y demeurèrent quelques jours hors des remparts, le temps pour Juju et le Connétable de France Vinkolat de décider où réunir les deux armées royale, celle du nord et celle du sud, entre Rennes et Fougères.

La décision finale se porta sur Fougères, où ils arrivèrent le 24 avril et s'unirent aux autres armées présentes ici depuis des mois pour donner l'assaut à la ville. Après plusieurs tentatives infructueuses, et quelques captures , on apprit que des négociations avaient été ouvertes et que les armées allaient revenir chez elles, ordre qui fut reçu par Rhân pourl'ost orléannais le 27 avril 1455.

Ils se replièrent tout d'abord sur Laval, qu'ils défendirent quelques jours pendant que les négociations de paix commençaient et le 2 mai, Rhân pu enfin annoncer à son armée le retour définitif vers Orléans.

Le retour au calme?

Au retour on fit en sorte de prendre en compte les leçons de passé et après de longues concertations Rhân rédigea un nouveau Code militaire à son Etat-Major qu'il l'accepta et fut mis progressivement en œuvre entre juin et septembre 1455.


Au niveau politique, la réforme des institutions politique de l'été 1455 envoya le Lieutenant-Général au Haut-Conseil en tant que membre représentant de l'armée. Là Rhân participa jusqu'en décembre aux débats sur tout les sujets abordés aussi bien militaires que civils.


Pendant ce temps la situation n'était pas si calme que ça. L'armée commença des tests sous son commandement pour tester les nouveaux codages avant de partir en mobilisation dans les armées de Kirah et Averos pour défendre les DR et partir brièvement vers la Bourgogne où des brigands avaient pris Dijon.


Enfin après 10 mois de bons et loyaux services, il décida de prendre sa retraite et démissionna de son poste de LG fin novembre 1454. Il laissa son armée à Kelkiller,

Retour à la vie militaire cependant pour mener au combat une armée IG pour le compte de l'EMDR. Parti de Blois, il traversa la Touraine avec l'autorisation du duc Tcharly malgré quelques frictions avec les tourangeaux et les Lucioles à Tours après un programme de planning.

Dans le Maine il se lança à la poursuite des Penthièvres, mais trop tard, leurs armées s'étant déjà repliées en Anjou. Au passage il défit l'armée de Zemeuhman et le captura avant d'aller prendre ses quartiers d'hiver à Laval près de la frontière. Il se fit de plus affecter comme aide de camp de la nouvelle maréchale de France Kirah après la nomination de Strakastre comme Connétable de France.


Au nouvel an, ce fut la démobilisation d'une partie de l'armée et le départ des volontaires les plus aguerris pour l'armée de ordres royaux. Avec MarieAlice, il fut chargé d'organiser l'armée et de répartir les hommes dans les sections en fonction des places restantes. Puis l'armée se dirigea vers la Touraine et combattit à la Bataille de Vendôme au cours de laquelle après une longue chevauchée dans laquelle sa section disparu peu à peu, il se fit blesser à la tête et capturer par les Lucioles.

Au bout d'un long mois passé, il rentra enfin chez lui, pour déposer quelques affaires et acheter un appartement dans la ville d'Orléans nouvellement créée, mais il ne pût en profiter puisqu'on le rappela en Champagne rapidement, 2 jours seulement après son arrivée sur le territoire ducal pour seconder Pisan dans le domaine militaire dans la crise de Compiègne que les artésiens avaient attaqué par surprise en prétextant une occupation illégale de ce lieu par les champenois depuis 18 mois.

Fonctions occupées


Titres

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Armes de Boiscommun

En chef, quatre fleurs de lys d'or, au cœur, un chêne feuillu surmonté d'un corbeau, et reposant en pointe sur un tertre, flanqué à dextre et à senestre de deux fleurs de lys d'or, le tout sur champ d'azur











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De sable au léopard d’or, au chef de gueules au 3 coquilles du second