Arfast

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Arfast de Riveroy (né le 4 mai 1428 à Patay, en Orléans), seigneur du Rouvray, est un homme militaire. Il occupe divers postes dont ceux de GCapitaine Royal d'Orléans et de Délégué territorial d'Orléans en France Orientale. Il est le chef de la Famille Riveroy.


Sommaire

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Son blason et sa devise

     Rouvray-Riveroy.png

Son histoire

Les débuts à Patay

Arfast est né en l'An de grâce MCDXXX, dans une petite maison de Patay. Très jeune, il a perdu ses parents, Marianne de Bellechasse et Jean de Riveroy, décédés suite à une forte épidémie de fièvre qui coûta également la vie à son frère plusieurs années plus tard. Il a été élevé par un vagabond de passage, Mastariniel del Jukar. Emporté à son tour par la fièvre, Mastariniel l'a laissé seul face à la vie, il s'est donc pris en main, vivant surtout de cueillette. En l'an de grâce MCDLV, Arfast commença à vivre de petits boulots à l'église, puis fit l'acquisision d'une terre, gracieuseté du duc de l'Orléanais. Rapidement habitué à travailler dans la milice patichonne, il décida d'y prendre une place importante, laissant son champ de blé entre bonne main. La bicoque de ses parents dont il avait hérité est devenue habitable et s'est vu tranformée en échope de tisserand où il travailla lorsque le besoin de ses concitoyens le poussait. Les gens de Patay ont commencé à l'apprécier, il les salue donc d'une visite occasionnelle à la taverne. Celle qui a su l'insufler le courage de continuer la vie à Patay est Tika, Arfast lui sourit donc lorsqu'il la croise.

Premier voyage

Lecture du Journal d'Arfast (1455) :


Itinéraire: Patay-Orléans-Blois-Saint-Aignan-Chateauroux-Loches-Chinon-Tours-Blois-Patay

J'ai rapidement formé une idée et ai été piqué par l'attirance du voyage. L'occasion s'est finalement présentée, lorsque j'ai rencontré Chingrelin, un ami à la taverne, nous y avons formulé nos espoirs de voyage. Ayant été entendu par notre maire, messire Waroch, nous nous sommes vus confier une mission diplomatique ayant pour but d'établir des liens commerciaux et d'écouler des marchandises patichonnes à l'étranger. C'est ainsi qu'un par un beau matin d'un 17 novembre 1457 j'ai pris mon baluchon et mon mandat, puis j'ai quitté Patay avec mon ami Chingrelin et son chien, Domino, avec l'espoir d'y revenir avec une meilleure connaissance du vaste royaume de France.

Trajet du retour

Au retour je passe par Blois où je rencontre Dame Bouddica et son mari que j'escorte avec Chingrelin jusqu'à Patay où ils se rendent. Je rends mon mandat au maire Waroch et je me relance dans la production. C'est à mon retour que je me fis baptiser en l'Église St-André de Patay.

Second voyage

Lecture du Journal d'Arfast :

o--(:::::::::::> Second Voyage - Le Grand Périple Diplomatique

Ce nouveau voyage avec un but amoureux, trouver l'âme sœur, mais aussi voir du pays et me rendre en Lyonnais-Dauphiné ou en tant qu'ambassadeur je représentais l'Orléanais. J'écoulais aussi des marchandises comme le marchand ambulant que j'étais.

Nous partîmes donc de Patay et nous refîmes un peu le voyage fait avec Chingrelin.

Le voyage alla bien, jusqu'à ce que nous atteignîmes Saint-Aignan, entre temps, nous avions été attaqués et dépossédé de nombreuses pièces d'or et biens par un dénommé El_loic. Nous rejoignimes Chateauroux où nous prîmes beaucoup de retard en attente du procès de notre agresseur. J'y revis ma sœur Surella et plusieurs amis. La dame Elicia me tapa particulièrement dans l'œil ...

Puis nous nous arrêtâmes à Guéret, un charmant village, puis à Bourganeuf, de charmants villages bien que je n'ai pu y vendre car les maires ne m'ont pas répondus. Je du faire un détour de mon itinéraire vers Rochechouart pour subsister et j'y engageai un garde du corps. Je partis rejoindre Kanys à Tulle, avec pour intention de reprendre Sasker le mardi suivant à Limoges dans mon escorte.

Kanys mourut, dans des circonstances suspectent à son arrivée à Tulle, probablement décédé de blessures, car je venais moi-même d'être attaqué. La justice du Limousin laissait singulièrement à désirer. Sasker me rejoignit donc et nous partîmes pour Ventadour, puis Murat où nous fîmes escale un court moment, nous touchions au but ... Ensuite Polignac et j'escamotai Montbrisson pour gagner du temps.

J'arrivai le lendemain à Lyon, où je passai trois jours, le Dauphiné étant le but de mon voyage, puis je partirais pour Vienne avant de rentrer en Orléanais.

Le maire de Vienne ne me permit malheureusement pas de vendre sur son marché déjà problématique et je dû me contenter de travailler et de repartir pour Lyon avant d'entamer le véritable voyage de retour, , enfin je pourrai revoir les eaux de la Loire et la quiétude de ma propriété de Patay ...

Mon retour fut bref, je traversai la Bourgogne fermée avec l'autorisation du Connétable Gaborn de Hennfield. Je m'arrêtai à Autun prendre mon filleul et avec une grande réserve de provision je partit pour Bourges. J'y restai longtemps car mon filleul fit demi-tour car son champ venait de se vendre. J'entrai finalement avec lui En Orléanais et je m'engageai dans l'Ost à mon retour à Patay.

Campagne de Bretagne

Lecture du Journal d'Arfast :

Après mon recrutement dans l'Ost orléanais, je fus pratiquement mobilisé le jour même et je partis en direction de Blois pour rejoindre l'Armée de Bourguignon afin de défendre la ville d'une éventuelle attaque bretonne par le Sud. Puis, je fus intégré à l'armée du Capitaine Royal Averos qui nous mena par le Nord, (Alençon-Maine). Jusqu'à Laval que nous occupâmes. Puis nous laissâmes le soin à nos agents de fomenter la révolte et de libérer la ville et de la remettre sous contrôle Mainois, avant de mettre le siège devant Fougères. Nous envahîmes la ville après d'âpre combat et la déclarâmes ville franche. Plus tard elle fut rattachée au comté du Maine. Nous lançâmes quelques attaques en direction de Rennes, Capitale bretonne, mais ses murs nous tinrent en échec, nous décidâmes donc de tenir Fougères avec nos alliés françoys en attendant les négociations. Ce fut au cours d'une offensive bretonne sur la ville que je tombai, grièvement blessé. Ma convalescence dura quarante-cinq jours. Environ une semaine après ma sortie de convalescence nous évacuâmes la ville, sous le commandement du Lieutenant Kristian. Nous avions tous été blessés, et nos alliés avait dû tenir la ville. Les négociations aboutirent donc sous l'égide de la Princesse Armoria, Grand Maistre de France et du Duc de Bretagne. Ma mobilisation lors de cette première campagne dura 86 jours.


Le grand amour

À mon retour de la guerre, j'avais cru trouver l'amour en ma bonne amie Leanore, mais hélas, c'était une illusion, j'étais un peu perdu à ce moment, et elle m'avoua que ce n'était pas réciproque. Je jurai alors de la protéger comme un soeur et m'excusai de l'avoir troublé.

Mais plus tard, elle me présenta la belle Joshin. Je l'avait croisé quelques fois, et dès ce moment,c e fut le coup de foudre. Je sus alors que j'avais trouvé l'âme soeur. Tout commença le soir d'un bal à Patay ou je lui demandai la main. Je lui déclarai ma flamme en lui jouant un morceau de ma composition. Nous nous revîmes souvent, car nous étions affectés tous les deux au fortin de Patay en la caserne et nous nous vîmes tard le soir, dans la taverne pour discuter d'avenir et de toutes sortes de choses. Ce lien se resserra et nous nous déclarâmes notre amour dans un coin secret du verger patichon. Ce ne fut que quelques semaines plus tard, que je lui offrit l'anneau et la demandai en mariage, pour le meilleur et le pire, mais surtout le meilleur en espérant vivre avec elle toutes mes joies. À mon grand bonheur elle accepta, et elle fut baptisée en la Chapelle Saincte-Victoire le 14 janvier, par l'aumônier Kevindesflandres sous la bonne surveillance de sa marraine Gitta et son parrain Nanozevich.

Nous nous mariâmes le 14 février 1457, le jour de la Saint-Valentin dans l'Église Saint-André de Patay, la cérémonie étant officiée par mon neveu, Thalor Riveroy. Nous festoyâmes jusqu'à tard dans la nuit à l'aubergerie de notre bonne amie Tika.

Fonctions

Les postes et fonctions qu'il a occupé, suivi du nombre de mandats et des dates correspondantes si pertinentes


Économie

- Marchand Ambulant Officiel de la ville de Patay ( 3 fois ), ( Novembre-Décembre 1455 ) ( Janvier-Mars 1456 ) ( Août-Septembre 1456 )


Politique

- Conseiller municipal de Patay ( 5 fois, mandats renouvelés ),

- Maire Adjoint de Patay ( 1 fois, Janvier-Mars 1457 )

- Conseiller au Commerce patichon ( 2 fois, mandats renouvelés depuis Janvier 1457 jusqu'en Mars 1457 )

- Membre de la liste POURPRE aux élections ducales orléanaises de novembre 1456

- Tête de liste Pourpre aux élections ducale orléanais de mars 1457

- Commaissaire aux Mines d'Orléanais ( Mars 1457- Mai 1457 )

Diplomatie

- Ambassadeur Orléanais en Lyonnais Dauphiné et en Lorraine

- Ambassadeur intérimaire en Provence, en Baden, en Bayern, en Confédération Helvétique et en Franche-Comté(1 fois )

- Délégué Territorial Orléanais de France Orientale,

- Délégué territorial orléanais en Saint Empire Romain de Nation Germanique

- Ambassadeur et Émissaire orléanais en la Principauté de Catalogne

Militaire

- Faucon Première Classe de l'Ost Orléanais, ( 14 Avril - 1er Novembre 1456 )

- Premier faucon adjoint de Patay ( Caporal ), ( 1er Novembre 1456 - 19 Janvier 1457 )

- Grand Faucon de Patay, ( 19 Janvier 1457 - Aujourd'hui )

- Maître des Faucons de l'Ouest ( 8 Août 1457 - 17 juillet 1458 )

- Grand Maître des Faucons d'Orléans ( 17 juillet 1458 - 8 Août 1459)

- Capitaine Royal d'Orléans ( 8 Août 1559 - Aujourd'hui)

Famille

- Chef et Trésorier de la Famille Riveroy,

Titres

- Seigneur du Rouvray

Ordre Royal du Saint-Esprit

- Impétrant ( Octobre 1456 - 20 Décembre 1456 )

- Levée d'Armes ( 20 Décembre 1456 - 4 mai 1457 )

Quelques honneurs

- Porteur du corps d'Amro d'Appérault à sa dernière demeure ( Mars 1457 )

- Porteur du corps de Gillas, Seigneur de Pannacières, à sa dernière demeure ( Avril 1457 )

Médailles et Décorations

1.Argencyan.gif

Médaille du fidèle aristotélicien. Prouvant son appartenance et sa fidélité à la religion aristotélicienne de part son baptême par le Père Casim en l'Église Saint-André de Patay, le 17 décembre 1455.


2. Médaille Ordre du Mérite Orléanais.gif

Médaille de bronze de l'Ordre du Mérite Orléanais. Prouvant son dévouement à l'armée orléanaise et sa vaillance lors de la Campagne de Bretagne de 1456.

3. MédailleMériteOr.gif

Médaille d'or de l'Ordre du Mérite Orléanais. Prouvant sa vaillance, son engagement sans faille et ses actes durant la campagne de Provence 1458.

Sa famille

Arfast fait parti de la famille Riveroy. Sa mère se nomme Marianne et son père Jean. Il est marié à la belle Joshin Il est frère de Thalor, et oncle d'Atolchamb, fils de sa défunte soeur, Surella. Son autre neveu, Jessheim a malheureusement trouvé la mort sur les routes, tué par un bandit, peu après le décès de sa mère, égorgée en pleine nuit dans une ruelle de Castelroux.

Source

Textes et mise en page faite par Arfast et Thalor.